La nouvelle plateforme PhareClimat Santé est le premier répertoire public et participatif des initiatives en développement durable et lutte contre les changements climatiques dans les établissements de santé québécois.
Participez à son lancement officiel le 17 janvier 2024 à midi.
Nous vous présenterons ce projet, fruit d’une collaboration entre CASCADES, le Regroupement national des conseils régionaux de l’environnement du Québec (RNCREQ) et le Réseau d’Action pour la Santé Durable du Québec (RASDQ).
La plateforme PhareClimat Santé permettra aux professionnel.le.s de la santé et aux responsables d’initiatives en développement durable et lutte contre les changements climatiques de mettre en lumière leur travail, tout en favorisant la création de liens intra et inter-établissements.
Informations sur l’événement en ligne:
– Date : 17 janvier 2024
– Heure : 12h-13h
– Format : Webinaire
En vous inscrivant à ce webinaire, vous acceptez que vos données soient collectées par le RNCREQ et ses partenaires dans le cadre de PhareClimat Santé. Vous recevrez nos infolettres mensuelles sur le sujet.
Date et l’heure
23 Jan 2024, 12-1 PM EDT/HE, Zoom
Panélistes
- Sara Ahmed (pht, Ph. D.), Professeure, Université McGill, Faculté de médecine et des sciences de la santé
- Catherine Giroux (Ph. D.), Professeure, Université McGill, Faculté de médecine et des sciences de la santé
L’objectif de cette session est de présenter ce qu’est un système de santé apprenant (SSA) et de faire connaître un questionnaire destiné à guider les organisations qui cherchent à adopter un SSA. Au cours de cette session, les présentations permettront de définir ce qu’est un SSA et d’explorer ce qui le fait fonctionner. Des exemples d’organisations qui collectent des données et les utilisent pour améliorer les soins aux patientes et aux patients et le système de santé dans son ensemble seront présentés. Enfin, il sera question de la manière d’impliquer les patientes et les patients en tant que partenaires d’un SSA et d’explorer les moyens de les impliquer activement et de leur permettre d’avoir leur mot à dire dans leurs soins de santé.
Objectifs d’apprentissage
- Comprendre les principes fondamentaux d’un système de santé apprenant.
- Identifier les ressources et les activités les plus pertinentes pour mettre en œuvre chaque composante d’un système de santé apprenant.
- Discuter des stratégies d’engagement des patientes et des patients et de partenariat dans le cadre d’un système de santé apprenant.
Inscrivez-vous à l’avance à ce webinaire ici !
Leçons tirées sur l’engagement dans le cadre du projet PaRIS de l’OCDE
Date et l’heure
30 Jan 2024, 12-1 PM EDT/HE, Zoom
Panélistes
- Vivian Ramsden (inf. aut. , Ph. D. , MCMF (Hon.), FCAHS), Professeure et directrice, division de la recherche, Université de la Saskatchewan, Département de médecine familiale universitaire
- Marie-Eve Poitras (inf. aut. , Ph. D.), Professeure, Chaire CRMUS sur les pratiques professionnelles optimales en soins primaires, Université de Sherbrooke, Département de médecine familiale
- Shelley Doucet (inf. aut. , Ph. D.), Professeure, Directrice du Centre de recherche sur les soins intégrés, Chaire Jarislowsky en soins interprofessionnels axés sur le patient, Université du Nouveau-Brunswick
- Udoka Okpalauwaekwe (MBBS, MSP, candidat au doctorat), Chargé de projet, RCRSP – SK
- Brenda Andreas, Patiente partenaire, Collaboratrice de recherche
Cette session de la série d’apprentissage explorera des stratégies innovantes pour recruter et engager des pratiques de soins primaires et des patientes et des patients, pour partager des idées et pour travailler en vue d’une approche plus centrée sur le patient et plus cohérente au niveau national pour la collecte de données déclarées par les patientes et les patients. Nous discuterons également du potentiel d’une approche pancanadienne pour les données déclarées par les patientes et les patients, en mettant l’accent sur les processus participatifs et en nous inspirant de l’étude PaRIS de l’OCDE.
Objectifs d’apprentissage
- S’informer sur la manière dont les mesures déclarées par les patientes et les patients peuvent contribuer à une meilleure compréhension générale des soins primaires.
- Partager des stratégies qui peuvent être mises de l’avant dans les réseaux de soins primaires et les cliniques pour soutenir la collecte de données déclarées par les patientes et les patients.
- Discuter de la façon dont nous pouvons évoluer vers une approche pancanadienne des données déclarées par les patientes et les patients en utilisant des processus participatifs basés sur les enseignements de l’étude PaRIS de l’OCDE.
Inscrivez-vous à l’avance à ce webinaire ici !
Résumé de l’activité
Le recours aux mesures d’admission et de traitements involontaires est une réalité unique à la pratique infirmière en santé mentale. L’utilisation de ces mesures est en augmentation constante depuis les dernières années au Québec, au Canada et à l’échelle internationale. Leur mise en œuvre a pour conséquences de limiter l’autonomie des personnes qui en font l’objet, en plus d’entraîner plusieurs enjeux corollaires. Bien qu’elles soient parfois nécessaires, ces mesures exceptionnelles ont un caractère anxiogène et traumatique, peuvent fragiliser l’alliance thérapeutique et contribuer à la détresse psychologique du personnel infirmier.
Cette activité scientifique permettra d’explorer ces enjeux en croisant la perspective des personnes vivant avec un problème de santé mentale et des intervenants de la santé. Nous présenterons les résultats issus de deux projets de recherche réalisés en contexte de coercition psychiatrique et dont les perspectives théoriques utilisés découlent des théories critiques et poststructuralistes. À l’aube d’une réforme importante du droit psychiatrique au Québec, ces résultats décriront ce qui caractérise l’expérience de la coercition en santé mentale. Ils feront également état de la fragilité et de l’exigence de mieux soutenir le développement des pratiques de soutien à l’exercice des droits. Nous discuterons finalement de la pertinence des perspectives critiques en recherche – trop souvent peu mobilisées en sciences infirmières – afin de mettre l’emphase sur les dimensions cliniques, éthiques et sociopolitiques associées à l’utilisation courante et croissante des mesures coercitives en santé mentale.
Objectifs de l’activité
- Discuter des enjeux associés à la violation, la reconnaissance et au soutien à l’exercice des droits humains en santé mentale
- Comprendre comment le recours aux mesures d’admission et de traitements involontaires en psychiatrie affecte les personnes vivant avec un problème de santé mentale et le personnel soignant
- Identifier ce qui caractérise les pratiques d’intervention lors de la mise en œuvre de mesures coercitives en psychiatrie
Animateurs de l’activité
Pierre Pariseau-Legault, inf., PhD, est professeur agrégé au département des sciences infirmières de l’Université du Québec en Outaouais. Il possède une expertise en soins infirmiers médico-légaux et s’intéresse également à la judiciarisation des problèmes sociaux. Il enseigne la psychiatrie, l’intervention en situation de crise et l’éthique clinique aux futures infirmières et infirmières praticiennes spécialisées. Les recherches du professeur Pariseau-Legault portent sur la mise en œuvre des droits humains, la gestion du risque et l’adaptabilité des pratiques d’intervention dans le domaine de la santé, particulièrement en contexte de désaffiliation sociale. Il participe activement à plusieurs initiatives de recherche nationales et internationales portant sur les pratiques d’intervention auprès des personnes en besoin de protection. Il est chercheur au Centre de recherche de Montréal sur les inégalités sociales, les discriminations et les pratiques alternatives de citoyenneté (CREMIS) et au Centre de recherche de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel.
Etienne Paradis-Gagné, inf., PhD, est professeur adjoint à la Faculté des sciences infirmières de l’Université de Montréal. Il est chercheur boursier junior 1 au Fonds de recherche en santé du Québec (FRQS). Les travaux de recherche d’Etienne Paradis-Gagné s’inscrivent dans le domaine des soins infirmiers médico-légaux et de la pratique infirmière en santé mentale. Il s’intéresse particulièrement à l’interaction entre les milieux de la santé mentale et de la justice (phénomène de judiciarisation) et aux enjeux cliniques et éthiques qui y sont associés. Il s’intéresse également aux notions de vulnérabilité sociale et à la pratique infirmière auprès des personnes en situation d’itinérance (pratique de proximité). Il est chercheur au Centre de recherche de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel et au Centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal (CRIUSMM).
Nancy Gros-Louis McHugh, sera notre invitée le 12 décembre prochain pour nous présenter La boîte à outils des principes de la recherche en contexte autochtone : éthique, respect, équité, réciprocité, collaboration et culture.
La Boîte à outils propose des outils concrets pour faciliter le dialogue et la collaboration entre les différents partenaires impliqués dans un processus de recherche. Mise en ligne en 2014 et mise à jour en 2018 et en 2021, la Boîte à outils est un outil de référence et de synthèse s’adressant aux Premières Nations, aux milieux universitaires et de la pratique ainsi qu’aux gestionnaires de l’administration publique.
Huronne-Wendat de Wendake, Nancy Gros-Louis McHugh travaille depuis 2022 pour la Commission de la santé et des services sociaux des Premières Nations du Québec et du Labrador (CSSSPNQL), où elle est gestionnaire de la recherche et responsable d’une équipe multidisciplinaire. Elle a coordonné plusieurs projets de recherche communautaire sur différents thèmes liés au mieux-être.
Nancy participe activement à l’élaboration du Protocole de recherche des Premières Nations du Québec et du Labrador (2005/2014). Elle est co-auteure de la Boîte à outils des principes de la recherche en contexte autochtone et a participé à la fondation du Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations.
La présentation sera animée par Christine Paré, Conseillère principale EDI à l’Institut TransMedTech.
30 novembre 2023, de 13 h à 16 h (l’activité sera suivie d’un cocktail)
Où : Palais des congrès de Montréal, 201, avenue Viger Ouest, salle 518
Animation : Jean-Daniel Doucet, vulgarisateur scientifique
Cet événement sera offert en présentiel et en virtuel.
MISE EN CONTEXTE
Le phénomène de la désinformation ne date pas d’hier, mais l’avènement des réseaux sociaux a assurément contribué à lui donner de l’ampleur. L’information scientifique s’en trouve malmenée, la désinformation étant alimentée par des crises ou préoccupations de société. Quels risques comporte la désinformation dans notre rapport à la démocratie et dans notre confiance dans les institutions? Qu’en est-il des avancées technologiques par la recherche en IA qui permettent notamment de « truquer » le réel (image et récit) et que penser du rôle des médias sociaux et de leurs algorithmes dans une campagne électorale, dans l’opinion ou le débat public? Faut-il plus de contrôle et d’encadrement, législatif ou autre? Est-ce qu’améliorer l’éducation aux médias et la littératie scientifique constitue une voie à privilégier pour parvenir à mieux séparer le bon grain de l’ivraie? Ces questions seront notamment abordées à l’occasion de ce 9e forum d’échange organisé par les Fonds de recherche du Québec et le Palais des congrès de Montréal.
Ce rendez-vous sera aussi l’occasion de dévoiler les lauréats du concours Soutien à l’organisation de congrès internationaux du Club des Ambassadeurs du Palais des congrès de Montréal et des Fonds de recherche du Québec.
À NE PAS MANQUER :
- ENTREVUE « Enjeux démocratiques et confiance dans les institutions »
- Philippe Dubois, professeur adjoint, communication publique et politique (ENAP, Université du Québec)
2. Panel : « De l’importance de la littératie scientifique »
- Mélissa Guillemette, rédactrice en chef, magazine Québec science
- Normand Landry, professeur, département sciences humaines, lettres et communications, TÉLUQ
- Élise Rodrigue Poulin, étudiante à la maîtrise en sciences de l’éducation, Université de Sherbrooke
3. Panel : « La technologie de l’IA et les médias sociaux »
-
- Nicolas Garneau, chercheur postdoctoral à l’Université de Copenhague
- Véronique Bolduc, coordonnatrice aux relations scolaires et communications et Emmanuelle Parent, directrice générale et recherche du Centre pour l’intelligence émotionnelle en ligne (Le Ciel)
- Jean-Hugues Roy, professeur-chercheur en journalisme à l’École des médias de l’Université du Québec à Montréal (UQAM)
Programme complet à venir très bientôt.
Inscription : En présentiel ou En virtuel
Cardiovascular diseases remain the leading cause of mortality worldwide. With so many lipid-lowering medications and non-pharmacological interventions available, how do we make sense of the emerging evidence and simplify the appropriate management of cardiovascular diseases in primary care?
In November’s Choosing Wisely Talks, experts will discuss the recently updated PEER 2023 Simplified Lipid Guidelines designed to empower primary care providers in shared decision-making of pharmacologic and nonpharmacologic choices. Drs. Mike Kolber and Adrienne Lindblad will discuss the new recommendations and their practical implementation to prevent and manage cardiovascular disease in primary care.
Speakers:
- Dr. Mike Kolber, Professor in the Department of Family Medicine, University of Alberta, Associate Director PEER Team
- Dr. Adrienne Lindblad, Clinical Evidence Expert Lead, College of Family Physicians of Canada and Associate Clinical Professor, Department of Family Medicine, University of Al
Le transfert de travailleuses sociales en GMF comme condition favorable à l’incarnation du modèle de la Maison médicale (medical home)
Les groupes de médecine de famille sont en plein évolution, en réponse notamment aux priorités des politiques publiques en faveur des soins primaires. Le modèle de la Maison médicale, ou Medical home, promu par les grandes organisations de normalisation dans le domaine, offre une vision intégrée pour structurer les cliniques de demain. Celles-ci sont entre autres mieux intégrées à leur environnement, davantage collaboratives, centrées sur le patient, etc. La présentation fera un bref rappel des principes structurant le modèle de la Maison médicale et montrera sur lesquelles de ses dimensions l’arrivée des travailleuses sociales a eu un effet, et montrera les contributions et limites rencontrées lors de ce transfert. Plus largement, la présentation expliquera pourquoi ce transfert est, du point de vue tant des médecins, des professionnels en GMF, y compris des travailleuses sociales elles-mêmes, que des patients, un rare succès générateur de bien-être au travail.
Avec Julie Martin (doctorante) et Maude-Émilie Pépin (Ph.D.), Université de Sherbrooke