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Posts by Danielle Schirmer

Projets lauréats et autres nouveautés en lien avec la COVID-19

Bonjour,

Nous espérons que ce message vous retrouve en bonne santé, de corps et d’esprit.

Aujourd’hui, nous sommes heureux de vous partager quelques nouvelles en lien avec les activités sur la COVID-19 du R1Q :

Lauréats de l’appel à projets sur la COVID-19
Deux équipes ont été financés dans le cadre de l’appel à projets sur la COVID-19 du R1Q:

  • Nancy CôtéApprendre de la COVID-19 : projet exploratoire en GMF-U visant l’implantation de pratiques novatrices en première ligne
  • Richard FleetMettre en œuvre des solutions innovantes pour améliorer les soins de santé et de services sociaux en milieu rural en contexte de pandémie – COVID-19 : L’expérience design thinking du Living Lab Charlevoix

Félicitions aux équipes lauréates!

Pour en apprendre plus sur leurs projets, visitez : //reseau1quebec.ca/projets/projets-sur-la-covid-19/

Texte de réflexion sur la première ligne en contexte de pandémie 
Un nouveau texte dans la série de réflexions sur la première ligne en contexte de pandémie organisée par le R1Q a été publié :

Outils et ressources sur la COVID-19
Nous vous rappelons que plusieurs outils et ressources sur la COVID-19 pertinents pour la première ligne se retrouvent sur notre site Web. Entres autres, des ressources pour :

  • tous, y inclut patient-e-s / proches-aidant-e-s
  • chercheur-e-s
  • et clinicien-e-s, gestionnaires et décideur-e-s.

Nous vous invitons à les consulter et à nous faire part d’autres ressources qui pourront intéresser nos membres en nous écrivant à : 

Santé et solidarité,
L’équipe du Réseau-1 Québec



Un texte de réflexion d’Antoine Boivin : COVID-19 — un moment charnière en soins communautaires

Ce texte fait partie d’une série de réflexions sur la première ligne en contexte de pandémie du Réseau-1 Québec. An English version is also available.

Traduction française du ​ texte original​ par Geneviève Castonguay et Antoine Boivin (BMJ Opinion, avril 2020).

En tant que soignants dans la communauté, nous sommes les témoins directs de la crise COVID. La vague pandémique vient de frapper le Canada et nous avons bénéficié de l’expérience d’autres pays pour mettre en œuvre des mesures précoces de confinement, de préparation et de gestion des soins. Comme ailleurs, nous sommes incertains quant aux conséquences sur nos patients, nos communautés, nos collègues, nos familles et nous-mêmes. Alors que nous naviguons dans le paysage changeant des soins communautaires au centre-ville de Montréal, nous observons la transformation la plus rapide et la plus profonde des soins de santé de notre carrière. Cette crise transforme nos équipes, nos relations et nous-mêmes.

Les équipes changent
Notre ethos de travail est passé de « moi et mes patients » à « nous sommes tous dans le même bateau ». En une semaine, la pratique en soins de première ligne est passée de consultations en face à face à près de 95 % de consultations téléphoniques. L’accessibilité — un problème insoluble des ​réformes des soins primaires au Canada au cours des 20 dernières années — a nettement augmenté en quelques jours. Le « système de santé publique bureaucratiquement immobile » que nous pensions habiter s’est mis en mouvement et des améliorations massives ont été réalisées sans ajouter un seul professionnel. Les hiérarchies sont ébranlées et nous mobilisons l’intelligence et la créativité de toute notre équipe pour transformer notre façon de travailler ensemble. Cliniciens, réceptionnistes, personnel d’entretien, fournisseurs d’équipement et gestionnaires jouent soudainement pour la même équipe.

Nous avons rapidement adopté de « nouvelles » technologies (téléphone, courriel et internet) pour les ordonnances, l’échange de documents et les rencontres d’équipe. Nous remettons en question la valeur de chaque test diagnostic, de chaque référence et de chaque traitement, en nous demandant si nos interventions font plus de mal que de bien (par exemple, en équilibrant le risque d’investigation hospitalière pour des douleurs thoraciques chez les personnes à haut risque de complications liées à la COVID, compte tenu des données épidémiologiques locales du moment). Nous augmentons nos capacités en reportant un certain nombre de tests de dépistage et de suivi des maladies chroniques, en tentant de maintenir soigneusement l’équilibre afin de ​minimiser les effets indirects de la pandémie sur d’autres problèmes de santé majeurs​. Et nous partageons l’incertitude collectivement plutôt qu’individuellement. Comme l’a dit l’un de nos collègues : « Nous ne savons pas toujours où nous allons, mais nous y allons ensemble ».

Les relations et collaborations changent
Nous nous rendons compte que les patients, les citoyens et les membres de la communauté sont des soignants à qui nous pouvons faire confiance. Les parents sont devenus nos yeux et nos oreilles lorsque nous évaluons la maladie d’un enfant par téléphone. La majorité de nos patients atteints de la COVID (et d’autres conditions) prennent soin d’eux-mêmes, par eux-mêmes, à la maison, avec l’aide de leurs voisins, de leur famille et de leurs amis. Nous sommes impressionnés par la résilience de bon nombre de nos patients. Ils acceptent le changement, offrent des suggestions constructives, mobilisent leurs connaissances et leurs ressources intérieures pour s’adapter à la crise, manifestent leur appréciation de rester en contact avec une équipe soins de proximité qu’ils connaissent. ​Des patients partenaires expérimentés travaillant en étroite collaboration avec notre équipe de soins pour soutenir d’autres patients et les aider à trouver des solutions pratiques à leur nouvelle vie.

Nos “collaborateurs sur papier” sont devenus de véritables partenaires: professionnels de la santé et organisations communautaires cherchent des solutions communes à des problèmes pratiques communs. Nous voyons les rôles professionnels et les silos étroits céder le pas face à de nouvelles méthodes de travail. Des bénévoles de tous âges (enfants, adolescents, adultes et personnes âgées) ​réduisent les effets de l’isolement social sur la santé en maintenant le contact avec les personnes confinées chez elles. Les organisations communautaires, les pairs aidants, les services sociaux et les bénévoles sont finalement reconnus comme acteurs clés pour répondre aux besoins énormes de soutien psychosocial, matériel, alimentaire et économique. Des initiatives locales entre le système de santé et les municipalités sont créées pour répondre aux besoins des personnes les plus vulnérables (par exemple, la transformation de vieux bâtiments en chambres individuelles pour l’isolement à domicile des personnes sans abri). Les guerres de territoire professionnel ont été mises de côté à mesure que nous réalisons notre interdépendance avec nos collègues des soins intensifs, des hôpitaux, des salles d’urgence, des autres cliniques de première ligne, des soins à domicile, des soins de longue durée, des soins palliatifs, de la santé publique, des organisations communautaires et des réseaux informels d’entraide.

Se changer soi-même
La société n’est plus divisée entre les travailleurs de la santé et les autres​. Nous réalisons soudainement notre vulnérabilité commune. Nous prenons conscience de notre fragilité face à la maladie et à la mort. Nous sommes profondément ébranlés dans nos limites professionnelles, confrontés à une maladie pour laquelle il n’existe encore aucun traitement spécifique. Cela nous rappelle notre propre interdépendance et notre besoin personnel de soutien.

Nous nous sommes réintégrés dans la communauté que nous servons, en agissant réciproquement comme soignants et bénéficiaires de soins. Nous sommes reconnaissants envers les adolescents qui livrent de la nourriture à nos parents, aux voisins qui nous donnent une lasagne et un sourire après une longue journée de travail, aux éducateurs en garderie qui nous aident avec nos enfants.

Et nous sommes plus intensément conscients de nos privilèges. Nous sommes tous dans le même bateau, mais nous n’avons pas tous accès aux canots de sauvetage. « Les inégalités de santé » et les « déterminants sociaux de la santé » sont passés de concepts abstraits à de véritables patients, amis et membres de la communauté qui sont tombés malades, ont perdu leur emploi, sont incapables de payer leur loyer ou leur épicerie, vivent seuls ou ne peuvent mettre en œuvre « l’isolement à la maison » parce qu’ils n’ont plus de maison, vivent dans des abris surpeuplés ou dans la rue.

Ces expériences vécues mobilisent le professionnel de la santé en nous, qui prend soin d’un patient à la fois, mais aussi les êtres humains en nous, qui prennent soin les uns des autres, au sein de communautés d’entraide. Des communautés qui ont toujours été là, parfois invisibles, mais que ​nous voyons et apprécions plus clairement maintenant​.

Témoins et acteurs d’une histoire qui s’écrit
Ceci n’est pas un film que nous regardons à la télévision mais une histoire que nous écrivons ensemble, maintenant. Nous sommes à un carrefour qui peut nous déchirer ou nous rendre plus forts comme équipes, comme systèmes de santé et comme société. Ce que nous vivons en ce moment est écrit, imprimé, dans notre expérience et notre mémoire. Qui sait quel virage nous prendrons au prochain carrefour, et quel changement se maintiendra dans le temps. Mais ces choix façonneront notre avenir individuel et collectif.

Antoine Boivin​, médecin de famille et titulaire de la ​Chaire de recherche du Canada sur le partenariat avec les patients et le public​, Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal.
Manuel Penafiel​, organisateur communautaire, ​Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal​.
Ghislaine Rouly​, patiente partenaire et coresponsable du projet de recherche-action Communauté soignante​.
Valérie Lahaie​, coordonnatrice en santé publique et en partenariat, Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Ouest de l’île de Montréal​.
Marie-Pierre Codsi​, médecin, services de soins à domicile, Groupe de médecine familiale Notre-Dame, Montréal.
Mathieu Isabel​, directeur médical du service des sans-abri, Centre local de services communautaires des Faubourgs, ​Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal​.
Brian White-Guay​, coordonnateur médical de l’équipe d’intervention COVID du groupe de médecine familiale de Notre-Dame, ​Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal​.



Équipes lauréates de l’appel spécial à projets sur la COVID-19

Le Réseau-1 est heureux de vous annoncer les lauréats de l’appel spécial à projets sur la COVID-19:

  • Nancy Côté, Apprendre de la COVID-19 : projet exploratoire en GMF-U visant l’implantation de pratiques novatrices en première ligne
  • Richard Fleet, Mettre en œuvre des solutions innovantes pour améliorer les soins de santé et de services sociaux en milieu rural en contexte de pandémie – COVID-19 : L’expérience design thinking du Living Lab Charlevoix

Félicitations aux deux équipes lauréates!



Un texte de réflexion d’Yves Couturier et Catherine Hudon : La première ligne, une priorité publique même en temps de crise

Ce texte fait partie d’une série de réflexions sur la première ligne en contexte de pandémie du Réseau-1 Québec. Il a été repris dans l’Actualité, le 20 mai 2020. An English version is also available.

La crise de la COVID-19 aura rappelé au grand public la pertinence de la santé publique et montré que l’hôpital demeure l’institution centrale du système de santé et de services sociaux du point de vue des pouvoirs publics. La focalisation sur l’hôpital et les soins intensifs en début de pandémie a malheureusement retardé la préparation dans d’autres secteurs, expliquant en partie la profonde crise sévissant dans les centres d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) et, dans une moindre mesure pour le moment, dans les services à domicile. Qu’est-ce que cela augure pour l’ensemble des services de première ligne pour la suite de la pandémie?

Une première ligne forte (cliniques médicales, groupes communautaires, urgences, Info-santé, etc.) répond rapidement aux besoins courants de la population, avant, pendant et après la pandémie, tout comme elle répond aux besoins courants de la majorité des personnes atteintes par la COVID-19.

Les jeux de lumières et d’ombres médiatiques ont révélé une confusion dans l’opinion publique quant à la première ligne. Microbiologistes et autres pneumologues ont été qualifiés de première ligne, alors que la première ligne véritable n’a pas fait l’objet d’autant d’attention, sauf les lignes publiques d’information (811), les cliniques de dépistage ad hoc et les urgences. Il va sans dire que l’hôpital, les spécialistes et les urgentistes jouent un rôle des plus importants dans un tel contexte. Il n’est donc nullement question ici d’en réduire l’importance. Il est tout aussi évident que la première ligne n’est pas structurée pour accueillir une masse de personnes contagieuses ou potentiellement contagieuses. Néanmoins, la santé publique, le 811, les cliniques de dépistage et les urgences requièrent, pour leur propre efficacité, une première ligne médicale, notamment, qui joue un rôle crucial. L’efficacité globale du système de santé et de services sociaux en général et de la lutte contre la Covid en particulier en est tributaire. L’impératif d’adaptation et d’un rehaussement de la capacité de 1e ligne pour relever les défis de la prochaine phase d’endémicité est donc la clef d’une stratégie durable pour lutter contre la COVID-19.

Une révision des politiques publiques relatives aux mesures d’urgence ou en contexte pandémique devra permettre de mieux anticiper les conditions favorables à ce que la première ligne demeure centrale en toute circonstance afin qu’elle puisse continuer de jouer un rôle indispensable pour les clientèles les plus vulnérables tant sur le plan de la santé physique et mentale que sur le plan social. Un certain nombre de conditions sont requises pour que les services de première ligne puissent jouer pleinement ce rôle.

En contexte pandémique, puis en contexte endémique, c’est-à-dire suite à un retour progressif à la vie normale, mais avec un SARS-C0V-2 qui perdure, il s’agit notamment de :

  • Mettre à disposition des équipements de protection et autres ressources nécessaires à la gestion en première ligne en quantité suffisante à toutes les étapes de la pandémie.
  • Continuer d’intervenir sur les conditions chroniques préexistantes à la COVID-19 et sur ses effets psychosociaux sur les patients.
  • Maintenir la continuité des soins pour l’ensemble de la population.
  • Anticiper et gérer l’important effet d’écho qui suivra sur une longue période les patientèles dont le suivi aura été reporté ou altéré.
  • S’assurer que les cellules de décision en temps de crise incluent des conseillers et de conseillères expert.e.s de la première ligne et des maladies chroniques, et ce, à tous les échelons décisionnels.
  • Offrir le soutien de spécialistes et des gestionnaires aux décisions des cliniciens de première ligne, lorsque nécessaire.
  • Élaborer et soutenir une stratégie de téléconsultation de qualité et durable
  • Planifier la contribution de l’ensemble des ressources communautaires.

En appui au rôle incontournable de l’hôpital pour les soins aigus en contexte de pandémie, il est impératif de continuer à développer un système de santé et de services sociaux où la première ligne assure l’accès et la continuité des services pour les personnes les plus vulnérables en temps de crise, que ce soit dans la communauté, à domicile et dans les cliniques médicales. La première ligne doit demeurer une priorité publique, plus encore en ces temps difficiles de pandémie.

Yves Couturier, directeur scientifique du Réseau-1 Québec
Catherine Hudon, directrice scientifique adjointe du Réseau-1 Québec



COVID-19 et cliniciens en première ligne: sondage rapide et veille des besoins et innovations

Chers-ères cliniciens-nes,

La pandémie de la COVID-19 pose d’importants défis pour la première ligne et pour les cliniciens-nes qui y travaillent. C’est pourquoi nous vous sollicitons encore une fois, de façon exceptionnelle, pour nous partager ce qui se passe sur le terrain via les initiatives suivantes :

 

 

 

 

 

Les résultats seront communiqués aux responsables des politiques et aux acteurs et actrices clés de la première ligne pour pouvoir mieux répondre aux besoins des cliniciens-nes sur la ligne de front.

Voici les résultats de la 1re et 2ème éditions du sondage rapide >>

Nous vous encourageons à transmettre ces liens à vos collègues!

Merci de votre participation,
L’équipe du Réseau-1 Québec



Bienvenue aux nouveaux membres

Le R1Q souhaite la bienvenue aux 37 nouveaux et nouvelles membres qui se sont inscrit-e-s depuis le 15 janvier 2020, incluant ceux qui participent au répertoire des membres.

Alya Danish Marie-Dominique Poirier
André Raymond Marie-Hélène Morin
Andréanne Bernier Marie-Violaine Dubé Ponte
Ariane Quintal Marion Dove
Audrey Lortie Monique Benoit
Chancel Gallimard Mbemba Naima Bouabdillah
Cécile Petitgand Nathalie Guimond
Dave Bergeron Olivier Drouin
Denis Blondeau Réal Goupil
Denis Boucher Sarah-Maude Caron-Cantin
Éric Loembet Sylvie Laroche
Eve Blanchet Sara-Edith Penney
Hava Biba Sylvie St-Jacques
Julie Massé Valérie  Gagné-Ouellet
Julie Tansey Véronique Boivin
Louise Ringuette William Hogg

Au plaisir de collaborer!



COVID-19 et cliniciens en première ligne: sondage rapide et veille de vos besoins et innovations

Cher-ère-s clinicien-ne-s,

La pandémie de la COVID-19 pose d’importants défis pour la première ligne. Nous vous invitons à nous partager ce qu’il se passe sur le terrain via deux initiatives :

 

 

 

 

 

Les résultats seront communiqués aux responsables des politiques et aux acteurs et actrices clés de la première ligne pour pouvoir mieux répondre aux besoins des clinicien-ne-s sur la ligne de front.

Nous vous encourageons à transmettre les liens vers ces sondages à vos collègues!

Merci de votre participation,
L’équipe du Réseau-1 Québec



Appel à projets conjoints sur la crise COVID – R1Q/RISUQ/RRSPQ

Bonjour,

En ces temps incertains, la mise en commun des ressources et des expertises en santé et services sociaux prend toute son importance.

C’est pourquoi nous sommes heureux de procéder à cet appel à projets conjoints sur la crise de la COVID-19 avec le Réseau intersectoriel de recherche en santé de l’Université du Québec (RISUQ) et le Réseau de recherche en santé des populations du Québec (RRSPQ), en collaboration avec l’Institut universitaire de première ligne en santé et services sociaux (IUPLSSS) affilié à l’Université de Sherbrooke.

Deux thématiques sont privilégiées dans le cadre de cet appel, soit : Gouvernance et Vulnérabilité.

Les projets présentés sous le thème « Vulnérabilité » viseront à examiner les soins de santé et de services sociaux de première ligne en contexte de la COVID-19 (traitement, prévention, effets néfastes, etc.) ou les conséquences de la crise sanitaire (gestion d’autres maladies, changements de pratiques, etc.) pour les différentes collectivités québécoises en situation de vulnérabilité.

Les projets présentés sous le thème « Gouvernance » viseront à examiner et à comparer différentes formes de gouvernance et de collaboration ayant émergé de régions ou de territoires au Québec.

Vous trouverez tous les détails sur cet appel à projets et le formulaire de candidature sur le site web du R1Q, ici : //reseau1quebec.ca/recherche-et-ressources/soumettre-un-projet/

La date limite pour soumettre vos projets est le 15 mai 2020.

N’hésitez pas à communiquer avec nous si vous avez des questions.

Cordialement,

L’équipe du Réseau-1 Québec



COVID-19 et première ligne : Veille des besoins et innovations

Bonjour à toutes et à tous,

Le Réseau-1 Québec et ses partenaires mettent en place une veille des besoins et innovations. Nous vous invitons donc à prendre 5 minutes pour nous partager vos besoins, défis, solutions, innovations et bons coups en répondant à quelques questions ici: //fr.surveymonkey.com/r/veillecovid19

Pourquoi cette veille ?  La pandémie de la COVID-19 pose d’importants défis pour les services et soins de santé de première ligne. Cette veille vise à identifier les besoins et innovations en première ligne, émergeant du contexte de la COVID-19. Le but est de soutenir le partage des bons coups et des défis en première ligne.

Comme le contexte évolue rapidement, nous relancerons cette veille toutes les 2 semaines, en ajoutant des nouvelles questions, afin de capter l’évolution des besoins et solutions.

Qui devrait répondre à cette veille ? Les professionnel.les de la santé, citoyen.nes, patient.e.s, proches aidant.e.s, décideur.es, gestionnaires, travailleu.r.ses communautaires, chercheur.e.s, étudiant.e.s, résident.e.s, agent.e.s d’amélioration continue de la qualité et toute autre personne pouvant décrire des besoins ou solutions en première ligne.

À quoi s’attendre ? Répondre aux questions devrait vous prendre environ 5 minutes. Une version en anglais est disponible ici. Les questions portent sur l’identification de solutions et besoins en première ligne, lié au contexte de la COVID-19, et sur votre profil (région, rôle). Les résultats serviront à créer des brèves descriptions des besoins et solutions qui seront diffusés publiquement via le Réseau-1 Québec et ses partenaires. Les résultats seront aussi partagés avec des act.eur.rice.s clés de la première ligne pour soutenir des activités d’amélioration continue de la qualité.

Qu’entendons-nous par première ligne ? Pour les fins de cette veille, nous incluons un large éventail de soins et services santé, sociaux et communautaires de premier contact ou de proximité avec la population (ex. : cliniques médicales, groupes de médecine de familles (GMF, GMF-U), super-cliniques (GMF-R), pharmacies communautaires, CLSC, organismes communautaires, initiatives des communautés, bénévoles, patients ou proches aidants, services psychosociaux, lignes téléphoniques d’information, etc.)

Qui mène cette veille ? Cette veille est une initiative du Réseau-1 Québec en étroite collaboration avec :

Membres du comité responsable de cette veille : Mélanie Ann Smithman, Simon Décary et Christian Chabot soutenu-e-s par l’équipe du bureau central Yves CouturierYsendre Cozic-Fournier et Nissrine Safa.

N’hésitez pas à communiquer avec nous au si vous avez des questions.

Merci de votre participation et, surtout, prenez soins de vous !

L’équipe du Réseau-1 Québec et ses partenaires



Lancement de l’appel spécial à projets sur la COVID-19

Objectifs 

Le présent appel à projets vise à soutenir des recherches sur l’impact de la pandémie de la COVID-19  sur la première ligne au Québec. Les projets devront générer des résultats qui aideront à améliorer les soins et services de première ligne au profit des patients, à courte durée. Les projets pourront porter sur la gestion de la COVID-19 en première ligne (traitement, prévention, effets néfastes, etc.) ou sur ses conséquences (gestion d’autres maladies, changements de pratiques, etc.).

Fonds disponibles

Jusqu’à 2 projets seront financés pour un montant de 25 000$ chacun, sur une période allant jusqu’à 12 mois.

Admissibilité

Le projet doit être mené par un membre en règle du R1Q avec un profil à jour.

Critères d’évaluation

  1. Objectifs et pertinence (30 points)
  2. Méthodologie (15 points)
  3. Faisabilité (réalisable en 12 mois ou moins, contraintes minimes sur les milieux cliniques, considérations de la situation actuelle en termes d’approbation éthique, rencontres à distance, etc.) (30 points)
  4. Résultats attendus, retombées et plan pour assurer un impact immédiat et concret (15 points)
  5. Justification du budget (10 points)

Considéré comme un atout :

  • L’implication de plusieurs régions, disciplines ou milieux universitaires

Dépenses admissibles

Les dépenses admissibles et non-admissibles sont décrits dans les Règles générales communes du Fonds de recherche du Québec (section « Dépenses admissibles et non-admissibles »). Les dépenses admissibles incluent les salaires des coordonnateurs ou coordonnatrices et des assistant(e)s de recherche ainsi que les ressources nécessaires pour mener le projet à terme. Les dépenses non admissibles incluent les paiements directs aux chercheur(e)s ou aux clinicien(ne)s-praticien(ne)s.

Dates à retenir

Date limite de soumission des projets : 26 avril

Annonce des résultats : 1er mai

Disponibilité des fonds :  1er mai

Procédure à suivre

Soumettre le formulaire de candidature et le curriculum vitae du responsable du projet au plus tard le 26 avril à 23 h 59 à :

Soutien additionnel

L’Unité de soutien SRAP du Québec, partenaire de longue date du R1Q, offre au besoin son expertise en recherche axée sur le patient aussi bien aux équipes qui préparent une demande pour le 26 avril, qu’aux deux projets qui seront sélectionnés à la suite du concours.  Bien vouloir adresser vos demandes de soutien à :

Liste de vérification

  •  Formulaire de candidature
  •  Curriculum vitae du responsable du projet
  •  Responsable du projet est membre du Réseau-1 Québec avec un profil à jour.

Pour devenir membre : //reseau1quebec.ca/membres-et-partenaires/membres/

Pour mettre à jour son profil : //reseau1quebec.ca/modifier-mon-profil/





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